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CR Tan Que Vire 2008
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CR Tan Que Vire 2008
On m’avait dit du bien de cette épreuve, aujourd’hui, je confirme que la Tan Que Vire figurera sur nos plannings l’année prochaine. Le principe est simple, 1 boucle de 20 km semée d’un parcours bleu (déjà assez difficile ), de passage rouge (difficile ) et de double flèches rouges (très difficile ). Cet évènement devrait plaire à tout le monde car on fait ce que l’on veut, ni chrono, ni classement mais du hard.
Nous partons donc en camion le samedi matin pour se rendre sur place en début d’après midi. Nous traversons les vignobles des Côtes du Rhône et nous nous rendons au pied du Mont Ventoux à 3h de route de chez nous. Sous un superbe soleil, nous choisissons notre emplacement un peu à l’écart car prévu au programme pour le soir, concert rock.
Notre campement :
Viallou et pas mal de forumeurs de l’enduro en Rhône Alpes arrivent dans l’aprèm.
Nous partons marcher en famille les zones de franchissement non loin du parc coureur. Comme vous pouvez le voir ci-dessous, il y a du pentu dans le coin
Sans surprise, je remarque pas mal de difficultés et des passages « gros cœur » comme la montée impossible ou le saut par-dessus la banderole Kenny.
La nuit tombe sur la Tan Que Vire,
le concert se met en branle, les cannettes de bières défilent et nous visionnons la Romaniac 2007 sur grand écran. Dans une bonne ambiance, nous trinquons à ces moments bien sympathiques.
Réveil 7H30 du matin, les bouchons d’oreilles ont été très utiles, p’tit dej, préparation du pilote : oubli des genouillères ! N’importe où pour l’oubli des genouillères mais pas ici. Heureusement, je trouve quelqu’un qui m’en prête pour la journée, oufff.
Le départ se fait 2 par 2, chacun sur un parcours différent pour fluidifier les passages techniques. Nous nous arrangeons pour prendre le même parcours Viallou, P’tit Bras, Yo, Harvey et moi-même.
D’entrée de jeu, nous accumulons de bons passages techniques en ruisseaux, marches, dévers, racine et belles montées. Le groupe est homogène jusqu’à la panne du Viallou dans le ruisseau avec une prise de masse de son commodo. Harvey nous fait un triple salto par l’avant en descendant une marche dans un ruisseau, résultat : trempé jusqu’aux os.
Nous alternons les passages bleus et rouges avec quelques options doubles flèches rouges comme une descente à la verticale entre 2 rochers plus hauts que nous, avec un virage à 90° droite en bas.
Le parcours nous offre de superbes surprises, nous rend au fond de talwegs, normalement infranchissable, et pourtant, le tracés est bien là, sur les crêtes de ravines ou une seule largeur de pneu pourrait passer. Nous nous entre aidons sur quelques passages digne de la Romaniac.
Je prends mon pied, c’est génial d’évoluer dans des difficultés encore inconnu.
Nous doublons plus qu’on se fait doubler, le petit groupe de franchisseurs est homogène jusqu’à l’arrêt de 2 d’entre nous pour BDR (bout du rouleau). Le 3e n’arrivant pas, je fini la boucle tout seul vers 12H30, l’heure de se restaurer.
Ptit tunnel et bascule de la fin de parcours :
Nous partons donc en camion le samedi matin pour se rendre sur place en début d’après midi. Nous traversons les vignobles des Côtes du Rhône et nous nous rendons au pied du Mont Ventoux à 3h de route de chez nous. Sous un superbe soleil, nous choisissons notre emplacement un peu à l’écart car prévu au programme pour le soir, concert rock.
Notre campement :
Viallou et pas mal de forumeurs de l’enduro en Rhône Alpes arrivent dans l’aprèm.
Nous partons marcher en famille les zones de franchissement non loin du parc coureur. Comme vous pouvez le voir ci-dessous, il y a du pentu dans le coin
Sans surprise, je remarque pas mal de difficultés et des passages « gros cœur » comme la montée impossible ou le saut par-dessus la banderole Kenny.
La nuit tombe sur la Tan Que Vire,
le concert se met en branle, les cannettes de bières défilent et nous visionnons la Romaniac 2007 sur grand écran. Dans une bonne ambiance, nous trinquons à ces moments bien sympathiques.
Réveil 7H30 du matin, les bouchons d’oreilles ont été très utiles, p’tit dej, préparation du pilote : oubli des genouillères ! N’importe où pour l’oubli des genouillères mais pas ici. Heureusement, je trouve quelqu’un qui m’en prête pour la journée, oufff.
Le départ se fait 2 par 2, chacun sur un parcours différent pour fluidifier les passages techniques. Nous nous arrangeons pour prendre le même parcours Viallou, P’tit Bras, Yo, Harvey et moi-même.
D’entrée de jeu, nous accumulons de bons passages techniques en ruisseaux, marches, dévers, racine et belles montées. Le groupe est homogène jusqu’à la panne du Viallou dans le ruisseau avec une prise de masse de son commodo. Harvey nous fait un triple salto par l’avant en descendant une marche dans un ruisseau, résultat : trempé jusqu’aux os.
Nous alternons les passages bleus et rouges avec quelques options doubles flèches rouges comme une descente à la verticale entre 2 rochers plus hauts que nous, avec un virage à 90° droite en bas.
Le parcours nous offre de superbes surprises, nous rend au fond de talwegs, normalement infranchissable, et pourtant, le tracés est bien là, sur les crêtes de ravines ou une seule largeur de pneu pourrait passer. Nous nous entre aidons sur quelques passages digne de la Romaniac.
Je prends mon pied, c’est génial d’évoluer dans des difficultés encore inconnu.
Nous doublons plus qu’on se fait doubler, le petit groupe de franchisseurs est homogène jusqu’à l’arrêt de 2 d’entre nous pour BDR (bout du rouleau). Le 3e n’arrivant pas, je fini la boucle tout seul vers 12H30, l’heure de se restaurer.
Ptit tunnel et bascule de la fin de parcours :
Re: CR Tan Que Vire 2008
La bascule où pas mal se sont vautrés
Passage des zones artificielles de Speedseries : zone des tonneaux + tronc d'arbre
puis p'tit saut en descente et montée impossible
Passage des zones artificielles de Speedseries : zone des tonneaux + tronc d'arbre
puis p'tit saut en descente et montée impossible
Re: CR Tan Que Vire 2008
Réveil 7H30 du matin, les bouchons d’oreilles ont été très utiles , p’tit dej, préparation du pilote : oubli des genouillères ! N’importe où pour l’oubli des genouillères mais pas ici. Heureusement, je trouve quelqu’un qui m’en prête pour la journée, oufff.
Le départ se fait 2 par 2, chacun sur un parcours différent pour fluidifier les passages techniques. Nous nous arrangeons pour prendre le même parcours Viallou, P’tit Bras, Yo, Harvey et moi-même.
D’entrée de jeu, nous accumulons de bons passages techniques en ruisseaux , marches, dévers, racine et belles montées. Le groupe est homogène jusqu’à la panne du Viallou dans le ruisseau avec une prise de masse de son commodo . Harvey nous fait un triple salto par l’avant en descendant une marche dans un ruisseau, résultat : trempé jusqu’aux os .
Nous alternons les passages bleus et rouges avec quelques options doubles flèches rouges comme une descente à la verticale entre 2 rochers plus hauts que nous, avec un virage à 90° droite en bas.
Le parcours nous offre de superbes surprises, nous rend au fond de talwegs, normalement infranchissable, et pourtant, le tracés est bien là, sur les crêtes de ravines ou une seule largeur de pneu pourrait passer. Nous nous entre aidons sur quelques passages digne de la Romaniac.
Je prends mon pied, c’est génial d’évoluer dans des difficultés encore inconnues.
Nous doublons plus que l'on se fait doubler, le petit groupe de franchisseurs est homogène jusqu’à l’arrêt de 2 d’entre nous pour BDR (bout du rouleau). Le 3e n’arrivant pas, je fini la boucle tout seul vers 12H30, l’heure de se restaurer.
14h, Harvey et P’tit bras viennent me chercher sous une averse battante. Cela promet pour l’après midi. Viallou est enfin des nôtres.
Bien au contraire, la pluie nous permet d’affiner nos trajectoires et notre recherche de grip. Plus ça va, plus nous prenons le fléchage Hard. Nous rencontrons le long du parcours des Riders au BDR, agonisant allongés le long du sentier. D’ailleurs, j’ai dû monter une Gas 300 toute Olhins en haut d’un raidillon. Je ne sais même pas si mes collègues ont vu que j’avais une autre moto que la mienne .
Nous prenons donc le fléchage rouge. Viallou nous insulte , comme d’habitude, car nous allons nous tuer, brûler les motos, nous perdre et nous faire kidnapper. Peu importe, l’endroit est magique, nous portons les motos sur 2 passages, du vrai FreeRide quoi. Sortis de là et pas encore bien rassasiés, P’tit Bras et moi-même prenons encore un fléchage rouge. Viallou nous insulte à nouveau , les commissaires nous disent qu’il n’y a pas grande difficulté dans ce passage : ça, c’est mauvais signe . Au bout d’une 20e de mètres, nous sommes mis dans l’ambiance : une pente approximativement à 60%. Je ne suis pas géomètre mais à partir du moment où la roue arrière demande qu’une chose, c’est de passer par devant, je pense que j’en suis pas loin. Après un bon serrage de fesses, Viallou nous réceptionne en bas toujours en nous insultant .
Nous arrivons sur la spéciale où : plus personne et tout de barré. Surpris, nous rentrons aux parcs coureurs. De là, nous entendons au loin le public et quelques motos aboyer. Je saute sur mon Piwi 80 pour aller jusqu’à la carrière et là, les quelques caïds de la journée se lancent des défis dans des montées impossibles. Je ne sais pas s’ils payent leurs motos, mais dans tous les cas, il y aura de la mécanique en rentrant à la maison.
Conclusion : un très bon weekend end moto en famille, avec des bons p’tits gars qui en veulent.
A refaire avec le team au complet.
Le départ se fait 2 par 2, chacun sur un parcours différent pour fluidifier les passages techniques. Nous nous arrangeons pour prendre le même parcours Viallou, P’tit Bras, Yo, Harvey et moi-même.
D’entrée de jeu, nous accumulons de bons passages techniques en ruisseaux , marches, dévers, racine et belles montées. Le groupe est homogène jusqu’à la panne du Viallou dans le ruisseau avec une prise de masse de son commodo . Harvey nous fait un triple salto par l’avant en descendant une marche dans un ruisseau, résultat : trempé jusqu’aux os .
Nous alternons les passages bleus et rouges avec quelques options doubles flèches rouges comme une descente à la verticale entre 2 rochers plus hauts que nous, avec un virage à 90° droite en bas.
Le parcours nous offre de superbes surprises, nous rend au fond de talwegs, normalement infranchissable, et pourtant, le tracés est bien là, sur les crêtes de ravines ou une seule largeur de pneu pourrait passer. Nous nous entre aidons sur quelques passages digne de la Romaniac.
Je prends mon pied, c’est génial d’évoluer dans des difficultés encore inconnues.
Nous doublons plus que l'on se fait doubler, le petit groupe de franchisseurs est homogène jusqu’à l’arrêt de 2 d’entre nous pour BDR (bout du rouleau). Le 3e n’arrivant pas, je fini la boucle tout seul vers 12H30, l’heure de se restaurer.
14h, Harvey et P’tit bras viennent me chercher sous une averse battante. Cela promet pour l’après midi. Viallou est enfin des nôtres.
Bien au contraire, la pluie nous permet d’affiner nos trajectoires et notre recherche de grip. Plus ça va, plus nous prenons le fléchage Hard. Nous rencontrons le long du parcours des Riders au BDR, agonisant allongés le long du sentier. D’ailleurs, j’ai dû monter une Gas 300 toute Olhins en haut d’un raidillon. Je ne sais même pas si mes collègues ont vu que j’avais une autre moto que la mienne .
Nous prenons donc le fléchage rouge. Viallou nous insulte , comme d’habitude, car nous allons nous tuer, brûler les motos, nous perdre et nous faire kidnapper. Peu importe, l’endroit est magique, nous portons les motos sur 2 passages, du vrai FreeRide quoi. Sortis de là et pas encore bien rassasiés, P’tit Bras et moi-même prenons encore un fléchage rouge. Viallou nous insulte à nouveau , les commissaires nous disent qu’il n’y a pas grande difficulté dans ce passage : ça, c’est mauvais signe . Au bout d’une 20e de mètres, nous sommes mis dans l’ambiance : une pente approximativement à 60%. Je ne suis pas géomètre mais à partir du moment où la roue arrière demande qu’une chose, c’est de passer par devant, je pense que j’en suis pas loin. Après un bon serrage de fesses, Viallou nous réceptionne en bas toujours en nous insultant .
Nous arrivons sur la spéciale où : plus personne et tout de barré. Surpris, nous rentrons aux parcs coureurs. De là, nous entendons au loin le public et quelques motos aboyer. Je saute sur mon Piwi 80 pour aller jusqu’à la carrière et là, les quelques caïds de la journée se lancent des défis dans des montées impossibles. Je ne sais pas s’ils payent leurs motos, mais dans tous les cas, il y aura de la mécanique en rentrant à la maison.
Conclusion : un très bon weekend end moto en famille, avec des bons p’tits gars qui en veulent.
A refaire avec le team au complet.
Re: CR Tan Que Vire 2008
Un petit montage vidéo de P'tit Bras
https://www.youtube.com/watch?v=lZhyjhBmQhg
La montée de la carrière du Speed
https://www.youtube.com/watch?v=lZhyjhBmQhg
La montée de la carrière du Speed
Re: CR Tan Que Vire 2008
bonsoir a tous,les 2 filles étaient super sympa,a l endroit ou harvey a fait le salto, je les ai prévenue et du coup elle l on contourner
l année prochaine on espère voir encore + du monde de la région rhone alpes
l année prochaine on espère voir encore + du monde de la région rhone alpes
viallou- Expert Fireball
- Nombre de messages : 665
Age : 57
Localisation : mdl
Date d'inscription : 23/09/2007
TQV 2008 !
Super ! ca fait super plaisir de voir ( de lire ) que les journées passées à préparer cette journée ont servies !
C'est bien entendu beaucoup d'investissement de la part de bénévoles ( passionnés bien sûr ! ), beaucoup de coups de fils, de journées, mais quand on voit que les participants sont satisfaits, c'est notre récompense !
J'ai vu que tu préparé un trip en Roumanie, pourras tu me donner ''des billes'' sur l'aventure ? ca me branche énormément !
gasgas84
C'est bien entendu beaucoup d'investissement de la part de bénévoles ( passionnés bien sûr ! ), beaucoup de coups de fils, de journées, mais quand on voit que les participants sont satisfaits, c'est notre récompense !
J'ai vu que tu préparé un trip en Roumanie, pourras tu me donner ''des billes'' sur l'aventure ? ca me branche énormément !
gasgas84
gasgas84- Calaminé
- Nombre de messages : 7
Date d'inscription : 18/03/2008
Re: CR Tan Que Vire 2008
Pas de problème, si tu as vu le film de La Romaniac, tu as eu un apperçu du trip.gasgas84 a écrit: J'ai vu que tu préparé un trip en Roumanie, pourras tu me donner ''des billes'' sur l'aventure ? ca me branche énormément !
gasgas84
Faut juste se lancer
Re: CR Tan Que Vire 2008
Mes besoins sont plus sur la logistique, les tuyaux pour y aller, pour s'heberger, le coût sur place, le coût du guide, etc ...
On s'en reparle peut être à ton retour !!!
On s'en reparle peut être à ton retour !!!
gasgas84- Calaminé
- Nombre de messages : 7
Date d'inscription : 18/03/2008
Re: CR Tan Que Vire 2008
merci a vous pour les toffs, et respect au pilote cette année encore je n'est pas pu participer travail oblige, j'espère que l'année prochaine je pourrais faire parti de la bande
Delémys- Expert Fireball
- Nombre de messages : 1127
Age : 54
Localisation : Démon's du Lyonnais
Date d'inscription : 18/09/2007
Re: CR Tan Que Vire 2008
Delémys a écrit:merci a vous pour les toffs, et respect au pilote cette année encore je n'est pas pu participer travail oblige, j'espère que l'année prochaine je pourrais faire parti de la bande
J'espère aussi pour toi et il n'y a rien de telle qu'une bonne TQV pour fumer un embrayage
Photos TQV 2008
Un petit diaporama photo en attendant le DVD qui s'annonce Excellent
http://fr.youtube.com/watch?v=ErYqvgqMaDo
http://fr.youtube.com/watch?v=ErYqvgqMaDo
gasgas84- Calaminé
- Nombre de messages : 7
Date d'inscription : 18/03/2008
Page 1 sur 1
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